Parmi toutes les blessures de l’âme, la trahison est celle qui crée le plus de tension intérieure. Elle s’enracine dans la perte de confiance — envers l’autre, envers la vie, et souvent envers soi-même.
Elle naît quand, dans l’enfance ou dans d’autres plans de mémoire (transgénérationnel, karmique, intra-utérin), une promesse d’amour, de sécurité ou de loyauté a été brisée. L’enfant a alors ressenti un choc : « Je ne peux plus faire confiance ».
Cette blessure marque profondément le cœur. Elle entraîne une hypervigilance, un besoin de contrôle, une peur du mensonge et une immense difficulté à s’abandonner.
La trahison se vit quand une personne en qui l’on plaçait toute sa confiance, son amour ou sa sécurité, ne tient pas parole.
Cela peut être un parent qui promet mais ne revient pas, une parole non respectée, une infidélité, une manipulation ou simplement une incohérence entre ce qui est dit et ce qui est fait.
L’enfant — ou l’âme blessée — enregistre que la confiance est dangereuse. Il vaut mieux se protéger, anticiper, contrôler, ne rien lâcher.
La blessure de trahison est donc profondément liée à la peur de perdre le pouvoir et à la croyance que, si l’on ne veille pas soi-même, tout peut s’écrouler.
Pour ne plus jamais être trahi, l’âme enfile le masque du contrôle.
Sous ce masque, on cherche à tout prévoir, à tout maîtriser, à diriger les situations, les relations, les émotions.
Le contrôlant n’agit pas par égoïsme : il agit par peur. Peur de se tromper, peur d’être déçu, peur d’être trahi à nouveau.
Ce masque se manifeste par :
un besoin de tout comprendre et tout anticiper ;
une difficulté à déléguer ou à faire confiance ;
une exigence forte envers soi-même et envers les autres ;
une tendance à vouloir convaincre, corriger, ou guider les autres pour éviter l’erreur ;
une hypersensibilité à la tromperie, à l’injustice, au mensonge ;
une grande réactivité émotionnelle, parfois explosive, quand on sent que quelque chose échappe au contrôle.
Le contrôlant paraît fort, solide, structuré. En réalité, il est animé par la peur de la vulnérabilité : « Si je lâche, je risque encore d’être trahi. »
Son corps garde souvent une tension continue — notamment au niveau du ventre et du plexus —, reflet de cette vigilance permanente.
Lorsqu’elle reste active, la blessure de trahison engendre des schémas de vie répétitifs et épuisants :
Des relations conflictuelles : attirance pour des personnes instables, menteuses, ou manipulatrices, qui rejouent la blessure initiale.
Hyper-responsabilité : on porte tout, on prend tout en charge, par peur que l’autre échoue ou trahisse.
Difficulté à se détendre et à lâcher prise : le mental tourne sans cesse, l’émotionnel reste tendu.
Peurs de l’engagement : paradoxalement, on peut refuser l’amour ou la confiance de peur de souffrir à nouveau.
Auto-trahison : à force de vouloir plaire ou maîtriser, on finit par se renier soi-même.
L’âme rejoue sans cesse le scénario : attirer des situations où la confiance est testée, jusqu’à ce qu’elle accepte d’en guérir.
Pose-toi ces questions :
Ai-je du mal à faire confiance, même à ceux qui m’aiment ?
Est-ce que je ressens souvent le besoin de tout contrôler ?
Est-ce que je me sens trahi.e dès que quelqu’un ne respecte pas ses engagements ?
Ai-je du mal à exprimer ma vulnérabilité ou à lâcher le mental ?
Est-ce que je me sens trahi.e quand on ne fait pas les choses « à ma manière » ?
Ai-je tendance à m’auto-saboter ou à me juger sévèrement dès que j’échoue ?
Si ces ressentis te parlent, c’est que la blessure de trahison est encore active dans ta mémoire énergétique. Elle t’appelle à guérir le lien de confiance — en toi, en la vie, en l’autre.
La guérison de cette blessure ne passe pas par le contrôle, mais par la reconnexion à la foi intérieure.
Ce chemin demande d’oser se remettre en lien avec la vulnérabilité, de libérer les mémoires du cœur qui portent la peur d’être trahi, et de guérir la part de soi qui croit qu’aimer, c’est risquer.
Dans mes soins, je t’accompagne à :
identifier l’origine énergétique ou karmique de la trahison (promesse brisée, vœu d’âme, lien d’attachement ou pacte énergétique) ;
nettoyer les empreintes vibratoires du choc et de la perte de confiance ;
libérer le mental du besoin de tout maîtriser ;
restaurer la confiance intérieure et la paix du cœur ;
reconnecter à la foi : celle qui ne dépend plus des autres, mais de ton âme souveraine.
Quand cette blessure se libère, le besoin de contrôle s’efface naturellement. Le cœur s’ouvre.
Tu retrouves la capacité d’aimer sans crainte, de te laisser porter, de créer à partir de la confiance plutôt que de la méfiance.
L’âme se détend, le corps respire, la vie circule à nouveau.
Il est difficile de guérir seul une blessure qui touche à la confiance — car elle empêche précisément de se confier.
Mon rôle est d’être ce miroir bienveillant et stable qui t’aide à déposer tes armes, à comprendre les racines invisibles de la trahison, et à retrouver ton axe intérieur.
En séance, nous travaillons dans le respect, la conscience et la douceur, afin de rétablir le lien de loyauté sacrée : celui envers toi-même.
Si tu ressens l’appel de ces mots, c’est que ton âme te parle.
Il est temps de cesser de te méfier de la vie et de reprendre confiance.
Ensemble, nous transformerons la mémoire de la trahison en un ancrage de puissance et d’authenticité.
Ta confiance n’a jamais disparu. Elle attend simplement d’être réhabilitée.
Consultation au cabinet et à distance du mardi au samedi de 10h à 18h
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